Lire et écrire avec la méthode Lulu

Une progressivité rigoureuse

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La méthode repose sur la progressivité et l’attractivité : l’enfant a envie d’avancer, poussé par l’envie de découvrir une nouvelle aventure de Lulu puis de Galax à chaque étape, ces personnages ayant été créés en parfaite adéquation avec les centres d’intérêts des enfants de 5-7 ans.

En même temps, l’élève se sent en sécurité à chacune de ces étapes, car elles ne fonctionnent qu’avec les graphies qu’il a apprises.

À ce titre, la traditionnelle " date " du matin sera bannie, ainsi que la lecture des prénoms de la classe, car trop de difficultés surgiraient à la fois. Il faut gravir les marches une à une.

Les étapes, justement, consistent à apprendre à lire et à écrire telle ou telle graphie, de manière rationnelle et systématique, sans être gêné ou désarçonné par d’autres graphies incompréhensibles.

Les signes de ponctuation sont aussi présentés selon un certain ordre.

Les lectures sont courtes et simples au début, et s’étoffent au fil de la progression.

 

1. La ou les nouvelle(s) graphie(s) correspondant à un son, sont découvertes par les élèves de façon à ce qu’ils tirent de leurs observations des règles ou des semblants de règles d’écriture à leur sujet.

Un moment de prononciation et d’explication phonologique viendra donner un sens aux associations de lettres, qui en Français paraissent arbitraire au premier abord.

À chaque fois que c’est possible, une " carte-maîtresse " sera montrée par le professeur pour marquer les mémoires. Cette image vivante et amusante (par exemple, pour faire retenir que O + I = son " oua ", la carte montre un chien tenant un os, un gros O lui tenant lieu de tête et un grand I en guise d’os ; il fait " oua "). Cette image est accompagnée d’un petit texte " rapé " à écouter sur le CD.

 

2. La nouvelle graphie est toujours mise en couleur dans les lectures, à chaque fois qu’elle existe, ce qui permet à l’enfant de mieux la repérer -- sauf dans les Galax, qui a été conçu justement pour que l’enfant se lance seul dans la lecture, en fin d’étape.

 

3. Les textes ont été élaborés de façon à faire intervenir un maximum de mots comportant la graphie de la leçon en cours. Les titres sont toujours choisis de manière à faire apparaître la graphie-clé de l’étape : par exemple, pour le " c " prononcé " s ", les titres sont :

• " Morceau d’écorce " ( poème)
• " A bas la violence " (doc)
• -" Les caprices de Lulu "
• " Le conte de la reine féroce " ( Galax)
• " L’ère glaciaire " ( chanson)

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Lire et écrire beaucoup

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Certains professeurs des écoles, lassés par les méthodes conventionnelles, et désireux d'apporter plus de sens dans l'enseignement de la lecture, partent d'ouvrages de littérature de jeunesse non aménagés, et parfois trouvent des chansons pouvant servir à l'observation de telle ou telle graphie. Certes, c'est s'exposer aux mêmes écueils que les méthodes globales ( noyer l'élève sous le flot des graphies complexes de notre langue bien peu phonétique), mais c'est tout de même aussi  proposer aux enfants des textes ayant un véritable contenu, des formats variés, des genres différents, des modes illustratifs personnels, et non un manuel unique pour toute l'année éventuellement accompagné d'une série de 5 ou 6 livrets. C'est un désir louable que de vouloir offrir aux enfants le plaisir de la vraie lecture, plaisir du sens ( textes invitant à la réflexion, à l'analyse), plaisir des sens ( toucher une couverture, découvrir des univers différents, écouter). 

   Mais c'est hasardeux en terme d'apprentissage ( les enfants ne peuvent pas lire en autonomie, seuls ils ne peuvent que piocher quelques mots et pour le reste s'en remettent à une perception globale, donc floue) , autant que très lourd à gérer pour l'enseignant ( recherche des supports, photocopies/achats de livrets, élaboration et organisation du contenu didactique).

    La méthode Lulu prend en compte la double nécessité et d'offrir des lectures variées et motivantes ( argument des "globaux"), et de construire sérieusement les apprentissages ( argument des "syllabiques"). Elle met les élèves en situation authentique d’écriture et de lecture : il faut redonner toute son importance au sens, par des textes consistants et des histoires complètes ! Pas de lectures réduites à une ou deux phrases ou à une comptine-collecte sans grande signification. Pas d’ « exercices » non plus qui mettent l’enfant devant une méli-mélo de mots sans aucun rapport les uns avec les autres, et sans phrases, c’est-à-dire sans contexte pourvoyeur d’indices. Car la lecture est avant tout un acte de déduction et de compréhension, et non une seule mécanique de déchiffrage : le "mécano" des lettres est motivé et facilité par l’intuition du sens.

     Par exemple, pour la phrase suivante qui est tirée de la méthode ( dans une des histoires de Lulu) :
« Le crapaud regarde Lulu fabriquer son bateau ».   L’enfant sait, avant de lire, grâce à l’illustration, qu’il y aura les mots « crapaud » et « bateau » ; donc, en commençant sa lecture, il déchiffre certes « cra » mais sait tout de suite qu’il s’agit du mot « crapaud », ce qui lui facilite la lecture de la deuxième syllabe ( non pas qu’il la « devine », cela est risqué, mais il y cherche confirmation de son intuition). Idem pour « bateau ».
    Quant aux autres mots, ils sont connus depuis longtemps, à ce stade de la méthode : ils sont identifiés presque immédiatement, ce qui permet de fluidifier la lecture et de la rendre efficace ;  au contraire, si l’enfant est en présence de trop de mots inconnus, il « ânonne » et perd le fil, perd le sens. Or, c’est à force de lire que se fabriquent ces photographies mentales de la forme des mots : plus l’enfant lit, plus il écrit les mots aussi, plus il « maîtrise » de mots de base, plus il a de disponibilité mentale pour aborder un nouveau mot. Il faut donc allier des moments de travail pointu et des lectures nombreuses.

    Grâce à la fréquence de lecture et à la progressivité des difficultés, l’enfant lit de plus en plus vite, donc de mieux en mieux : c’est le principe de base de la Méthode Lulu.
   Son originalité est de proposer dès le départ ces lectures sous formes de textes consistants et complets, même si l’éventail des connaissances de l’enfant est très réduit.
   Avec les recueils de poèmes, les recueils de documents, et les livrets d’histoires que comporte la méthode, l’enfant est fier et heureux de rentrer tout de suite dans l’univers du livre : dès la première étape, il a en main un véritable livret, et il n’a de cesse en particulier de vouloir connaître la suite des aventures de ses héros, Lulu et Galax.

  Tous les moyens ont été réunis pour rationaliser l’apprentissage et le rendre en même temps très attractif, par la richesse de l’illustration, si importante pour l’enfant, ainsi que la diversité des supports de lecture, diversité aussi bien dans le contenu que dans la présentation matérielle.

   Il ne faut cependant pas oublier que, en plus de cette méthode, par d’autres lectures nombreuses, sous forme de « lectures-plaisir », d’ « heure du conte »,  l’enseignant contribuera non seulement à enrichir la culture de l’enfant, mais surtout à lui donner l’envie d’accéder lui-même à ces richesses, grâce à la lecture.

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Ce qui ne va pas dans les méthodes courantes 

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La méthode Lulu est  née d’un constat : la difficulté des professeurs à trouver, pour travailler telle ou telle graphie, des textes riches, à la fois porteurs de sens et présentant suffisamment de mots qui contiennent la(les) graphie(s) qu’ils veulent mettre en relief.

Cela afin de permettre une étude ciblée, et de surcroît, c’est extrêmement important, avec le moins de difficultés autres possibles.

Certes, bien des méthodes existantes (mixtes) proposent des textes conçus pour l’étude de telle ou telle lettre ou graphie, mais ils sont trop courts pour développer un sens satisfaisant et permettre la réflexion ; et, plus grave encore, ils contiennent beaucoup de graphies non encore abordées en classe, ce qui oblige l’enfant soit à lire " globalement ", sans vraiment savoir comment fonctionne le code alphabétique, soit à survoler hâtivement et sans ordre ces graphies intempestives.

Par exemple, pour le son " ch ", qui est assez facile et que l’on pourrait trouver dans les premiers chapitres d’une méthode conventionnelle, on trouverait un texte comme celui-ci :

Il est vrai que le son " ch " est présent, mais au milieu d’un vrai sac de nœuds :

• Chatounet : il faut déjà connaître la graphie " ou " et savoir que " et " se lit " é " ;

• faim : la graphie " aim " est très particulière, il faut d’ailleurs déjà connaître le " in " et le " ain " ;

• cherche : le –e suivi de deux consonnes ( ici quatre !) se prononce " è ", c’est aussi une règle très particulière ;

• quelque chose : là aussi, le " e " est suivi de deux consonnes ( même trois) ; et dans " chose ", on rencontre le " s " intervocalique à valeur de –z…

• mettre : " e " suivi de deux consonnes ;

• sous : encore le " ou " ;

• dent  : nasale qui ne se comprend pas si on ne l’a pas déjà expliquée ;

• voit  : graphie " oi ", elle aussi très spécifique ;

• etc ! etc !

Si on décide de fonctionner sans méthode et que l'on tente de se débrouiller en partant de petites histoires ( littérature jeunesse), on est dans la même situation.

En bref, ces textes non aménagés ou insuffisamment, sont un vrai parcours du combattant pour les jeunes enfants qui ne connaîtraient que la valeur de base des lettres !

Bien sûr, un certain nombre d’entre eux finiront par se débrouiller, mais les autres ?

Beaucoup de peines et d’angoisses cachées, peu propices à l’épanouissement et à l’apprentissage ….

Il faut donc impérativement se mettre à la place des très jeunes enfants : 

si on les fait travailler sur des textes insuffisamment aménagés, on les met devant des difficultés multiples et ingérables qui vont vite en décourager beaucoup. 

C’est ce qui se passe trop souvent, et ces élèves-là ont beaucoup de difficultés à remonter la pente, ou ne la remontent pas. Les autres, hormis les esprits brillants, vont s’en sortir à moitié, acceptant une situation d’urgence qui leur fait commettre de nombreuses erreurs ; et plus on les laisse s’installer dans l’erreur, plus elle risque de s’enkyster dans les esprits.

Sans compter, et c’est peut-être le plus grave de l’affaire, que cette première approche stressante de la langue écrite est évidemment très dommageable à long terme, non seulement pour l’écriture, mais aussi pour toute forme d’apprentissage scolaire.

Le credo de la Méthode Lulu :

aménager l’apprentissage de la langue grâce à des découvertes rigoureusement programmées.

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Empathie et sympathie: une méthode qui aime les enfants

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Pour que les enfants aiment une méthode, il faut que cette méthode les "aime", c'est-à-dire les comprenne,  les prenne comme ils sont.

Il suffit d'un peu de psychologie.

La méthode Lulu repose sur un principe simple : il faut se mettre à la place de l’enfant qui découvre sa langue à l’écrit avec étonnement, tant ce code écrit est éloigné de la pratique orale. Il découvre une complication dont il n’avait pas idée. C’est pourquoi il faut se mettre à sa place, par une véritable " empathie " ; regardons cette langue écrite avec des yeux neufs, comme si on n’avait jamais fait auparavant, nous adultes, de grammaire ni d’histoire de la langue. " Déformatons-nous " pour retrouver une sorte d’ingénuité.

La langue écrite est comme un spectacle qu’il faut redécouvrir avec un regard d’enfant, en ignorant l’existence même des coulisses. C’est ainsi qu’ont surgi, dans l’esprit de l’auteure, les images et les trucs qu’on pourrait dire " de scène " qui caractérisent cette méthode. L’enfant n’a d’yeux que pour le spectacle, il en capte les images et les sons ; il aura tout le temps plus tard de visiter les coulisses, et d’ailleurs ça ne l’intéresse pas pour le moment. Inutile donc de faire des analyses et de donner trop d’explications : faisons du spectacle, c’est ce qu’il y a de plus efficace.

C’est en se rapprochant au maximum de l’enfant, en rentrant le plus possible dans sa psychologie, en retrouvant aussi ses propres souvenirs, ses sensations de petit(e) élève, que le bon pédagogue parvient à l'équilibre entre " évidence " et " connaissance ". Et surtout, il le fait par " sympathie ", au sens propre du terme : c’est-à-dire le fait de " se sentir  comme " les enfants, de " ressentir " leurs émotions, leurs appréhensions devant la complexité ou l’étrangeté du code, comme leurs joies d’accéder à l’écrit, de devenir autonomes, bref de grandir. " Sympathie "… Osera-t-on le mot " amour " ? Pourquoi pas…

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1.  Enseignants, spécialistes, parents et Education Nationale

La méthode Lulu est une méthode complète d’apprentissage de la lecture et de l’écriture, ludique et systématique, comprenant tout le matériel et l’accompagnement pédagogique nécessaires à l’enseignant/ parent, et en conformité avec les programmes et les recommandations de l’Éducation Nationale.

Elle prend l’enfant au berceau, le mène en Grande Section ( Méthode Ti’Lulu )  l’accompagne jusqu’au CP-CE1 (Méthode Lulu ), puis l’aide encore par la suite ( grâce aux outils rassemblés dans la collection " Didacto-Lulu "), jusqu’à la complète maîtrise de la langue ( fin CM2, début 6°).

Grâce à sa grande clarté et à son parti-pris de simplicité dans les instructions pédagogiques, elle peut également être adoptée par des parents.

Enfin, son efficacité la conduira à être aussi utilisée en remédiation par des enseignants spécialisés ou des orthophonistes :

- parce qu’elle aborde les graphèmes avec clarté et rigueur, elle sera utile aux enfants dyslexiques ;

- parce qu’elle fait entrer les enfants d’emblée dans le monde grammatical, avec méthode et enjouement, elle peut être utilisée en remédiation pour les enfants connaissant de graves difficultés et ayant besoin d’une remise à plat des apprentissages.

Le guide d’accompagnement est très fouillé : il guide l’enseignant dans la progression, de la façon la plus précise qui soit, mais le laisse libre de passer plus ou moins vite sur tels ou tels aspects, en fonction des besoins de son ou ses élèves. Il lui donne aussi des éléments de compréhension (étymologie, phonologie), afin de le faire rentrer en profondeur dans le fonctionnement de la langue, et donc lui permettre de mieux l’enseigner.

2. Une méthode " à la carte "

qui peut aussi rentrer dans d’autres démarches

Les supports de lecture ( poèmes et chansons, séries des Lulu et des Galax, docs, BD ) sont disponibles séparément pour ceux qui voudraient les inclure dans leur propre démarche. Des outils ( cartes-maîtresses, mémos, jeux, planches référentielles, jeux) ont été rassemblés dans des ouvrages spécifiques qui constituent la collection " Didacto-Lulu ".

3.  Un lien vivant avec Lulu sur internet

Enfin, et cela peut être décisif pour certains enfants, " Lulu " se met à la disposition par mail de ceux qui voudraient lui écrire pour lui poser des questions, lui proposer des petites histoires, des " aventures " nouvelles… tous textes qui seront rédigés en classe ou à la maison avec l’aide de l’adulte. Cette version " interactive " est stimulante et donne à l’écrit une fonction de " correspondance " très vivante.

Cela peut " débloquer " certains enfants …

Des aventures inédites pourront aussi apparaître sur le site " methodelulu.com ", ce qui accentuera ce côté " vivant " et pourra aussi servir de but pour une initiation à la recherche sur internet.

A bientôt sur methodelulu.com

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1. Plus qu'une méthode

Apprendre à lire et à écrire, quoi de plus important pour la vie scolaire  ( et personnelle !) d'un petit bout de chou, dont dépendra sa vie professionnelle et sociale?

Les méthodes "traditionnelles" et "modernes" ont leurs limites ( pour schématiser, les "syllabiques" sont rationnelles mais peu appétantes, et les globales, plus intéressantes mais pas assez progressives)...  Elles en laissent trop sur le bord du chemin.

Et puis, elles ont en commun de faire "courir" enseignants et élèves pour boucler la lecture en 3 mois, selon le mythe de l'entrée au CP selon lequel  "Ils sauront lire avant Noël"... Trois mois de survol des lettres et graphies de la langue, oui; mais combien d'années de tâtonnements pour arriver à écrire sans trop de fautes, combien d'années de flou, d'angoisse ou de découragement pour certains ?

La méthode Lulu apporte une réponse efficace aux interrogations des enseignants et des parents, ainsi que des spécialistes ( orthophonistes) car elle a été conçue par un professeur de Français ayant enseigné à tous les niveaux du système éducatif ( notamment en  IUFM), et ayant été, avec ses propres enfants, confrontée au problème de l'enseignement de la lecture et de l'écriture .

Vous trouverez dans la méthode Lulu des outils absolument novateurs du point de vue pédagogique et adaptés à la psychologie et à l'intelligence des jeunes enfants. Ces outils pourront être utilisés avec profit pour les révisions dans les classes post-CP du primaire et même en 6 ème pour les élèves en difficulté. Par son ultra-progressivité, elle est tout indiquée pour les enfants dont le Français n'est pas la langue maternelle.

2. Les grandes lignes

- Enseignants qui cherchez une méthode "syllabique" ( fondée sur le principe de l'association des lettres et non sur la reconnaissance globale des mots) capable de proposer des textes et des activités stimulantes dès les débuts, et surtout qui tienne le pari de la progressivité : à chaque étape une nouveauté, et pas avant, afin de laisser l'enfant fixer ses acquis sans être déstabilisé par la complexité d'une langue dont les adultes ont oublié l'étrangeté  ( graphèmes complexes, non phonétiques, et graphies grammaticales souvent muettes),

- Parents qui avez décidé d'instruire vos enfants à la maison et ne trouvez pas de méthode, d'une part efficace et ludique, motivante et rigoureuse, et d'autre part, facile d'accès,

- Spécialistes qui êtes à l'affût de nouveaux matériels pour venir en aide aux enfants en difficulté,

Cette méthode est pour vous.

Elaborée par une professeure agrégée et ancienne formatrice d'IUFM,  elle est le fruit de l'expérience et comporte tous ses trucs de métier ainsi que les outils qu'elle a mis au point en travaillant en direct avec des enfants.

http://methodelulu.com

+ Des ouvrages didactiques ( collection"Apprendre en jouant"), reprenant les outils innovants de la méthode Lulu :

            - les premiers rudiments de la lecture et de l'écriture  ( en Grande Section et CP),

             - les graphies et graphèmes difficiles ( par exemple, le son "in" et ses transcriptions, la lettre "e" prononcée "è"suivie de deux consonnes ou d'une voyelle finale, la lettre "g" suivie de -e pour faire "j" ou de "u" pour faire "gu" ...) au CP et CE1-CE2,

               - l'orthographe et la grammaire ( ainsi que la ponctuation) du CP au CM2-6 °,

             = une nouvelle façon d'enseigner, efficace et motivante pour les enfants et les enseignants + une nouvelle chance de réussir pour les enfants qui n'ont pas adhéré aux méthodes traditionnelles !

La Méthode Lulu maternelle-CP à grands traits:

          - une méthode multisupports ( historiettes, poèmes, chansons, documents, BD),

          - une progression étudiée pour faire passer l'enfant en douceur du B-A-BA aux graphèmes et graphies complexes ( -ill, ain/ein, gea/geo/gu, etc..) de façon à ce qu'il maîtrise toujours les acquis avant de passer aux "nouveautés",

         - depuis la Grande section ( avec des préparatifs en Petite Section) jusqu'à la fin du CP,

         - et cela grâce à des textes tout de suite stimulants ( même avec les graphies les plus simples),

         - qui prend l'enfant comme un tout et respecte sa nature ( mémoires visuelle et auditive : cartes-images avec "raps" et mémos fortement illustrés et doublés de versions sonores/ besoin de bouger : jeux / besoin de toucher : lettres mobiles, activités manuelles)

           - qui mène en parallèle deux apprentissages qui entrent en synergie: lecture ET écriture

           - qui met l'accent sur la familiarisation avec l'orthographe grammaticale, sous une forme totalement novatrice ( en développant des réflexes, et en fuyant l'abstraction et les termes compliqués)

         Exercices, suivi et évaluations ( et éventuellement remédiation) accompagnent et soutiennent la progression.

NB:  L'auteure a choisi de rester indépendante, ce qui demande bien sûr plus de travail au stade de l'impression. Aussi, pour le moment, la méthode intégrale n'est pas sous presse, quoique achevée.

Sont disponibles actuellement les supports de lecture ( avec CD pour les poèmes et les chansons), et les ouvrages didactiques ( avec CD pour les versions sonores des cartes-images et des mémos), c'est-à-dire la quintessence de la méthode.

Découvrez-les sur le site :

methodelulu.com

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